la femme reçoit deux aîles de grand aigle pour échapper au dragon - Apocalypse, chapître 12 versets 10 à 14
Alors j’entendis dans le ciel une voix forte, qui proclamait:
«Maintenant voici le salut, la puissance et le règne de notre dieu, voici le pouvoir de son christ!
Car il est rejeté, l’accusateur de nos frères, lui qui les accusait, jour et nuit, devant notre dieu.
Eux-mêmes l’ont vaincu par le sang de l’agneau, par la parole dont ils furent les témoins; détachés de leur propre vie, ils sont allés jusqu’à mourir.
Cieux, soyez donc dans la joie, et vous qui avez aux cieux votre demeure!
Malheur à la terre et à la mer: le diable est descendu vers vous, plein d’une grande fureur; il sait qu’il lui reste peu de temps.»
- Et quand le dragon vit qu’il était jeté sur la terre, il se mit à poursuivre la femme qui avait mis au monde l’enfant mâle.
- Alors furent données à la femme les deux ailes du grand aigle pour qu’elle s’envole au désert, à la place où elle doit être nourrie pour un temps, deux temps et la moitié d’un temps, loin de la présence du Serpent.
Fin des visions de Jean à Patmos, poursuite du récit de la légende de Jean l'Évangéliste selon le chapître 9 de La Légende Dorée
Du point de vue de la narration construite par Memling, les visions de l'Apocalypse s'arrêtent là.
La vie de Jean l'Évangéliste se poursuit, après Patmos, sur le panneau central, selon La Légende de Jean l'Évangéliste telle qu'elle est racontée dans le chapître 9 de La Légende Dorée.
résurrection de Drusiane - La Légende Dorée, chapître 9
Le récit de la légende de Jean l'Évangéliste se poursuit sur le panneau central intérieur, dans le lointain droit
Selon La Légende Dorée, Jean retourne ensuite à à Éphèse, où il ressuscite Drusiane ainsi que Memling le représente sur un chapiteau.
baptème de Craton - La Légende Dorée, chapître 9
Tout à fait à l'arrière, il baptise le philosophe converti Craton dans le petit édifice à coupole.
chapiteau du miracle de la coupe de poison - La Légende Dorée, chapître 9
Il boit la coupe empoisonnée sans subir le moindre mal.